L'élevage occupe  65% des terres cultivables dans le monde. Le Français ingurgite journellement 240 g de viande ;  au dessus des 100 g (limite autorisée par le corps), il met en danger sa santé et sa protection sociale. Il prive de sens la majorité des vies qu'il donne pour sa pitance. Il contribue à la destruction de la diversité et se plaint du nouveau climat qu'il a créé. Il réveille la servitude et propage le crime sur les populations victimes de son insatiable besoin d'opulence.

Bien évidemment, ceci s'applique à toutes les nations ayant les mêmes désastreuses prétentions.


J'ai entendu dernièrement une réflexion discutable au sujet du halal, qui serait, d'après son appellation, de meilleur qualité.
Nenni que tout cela, seules  des précisions, avec toutes les réserves que cela comporte, comme "élevage en plein air" ou mieux "BIO", peuvent attester d'une viande ayant le bon goût du passé...
Alors, c'est quoi le halal ?
Juste une variante dans le panel des mises à mort ; la méthode la plus employée, depuis que l'homme a ramené à la maison et amadoué de savoureuses créatures sauvages sélectionnées.
Aujourd'hui, pour occire ces animaux dociles, il y a, entre autres, l'électrochoc mais pour des raisons religieuses, l'égorgement est indissociable de certains dogmes.
Alors, me direz-vous, ces êtres vivants, à raison d'une cadence infernale par tête, passent par la lame meurtrière, oui, mais au moment du trépas, ils sont inconscients : c'est la règle !
Dans le cas du halal, l'animal doit mourir conscient : c'est aussi la règle ?


Le soja : la solution finale pour exterminer les petits paysans d’Amérique du Sud.


Le soja dans certains pays d'Amérique latine.

Une plante 100% OGM, récoltée pour alimenter les élevages intensifs de l’Europe. Si les OGM engendrent des débats houleux, les méthodes pour faire pousser le soja sont des plus dangereuses pour les populations, aux abords des cultures. En ligne de mire, le Brésil, le Paraguay et l’Argentine ; dans les trois cas, la toxicité des produits employés mettent à mal la santé de millions de gens, de multiples symptômes qui rappellent étrangement les effets de la radioactivité, sans compter les pires violences mise en œuvre pour expulser les petits exploitants de leurs terres. Loin du tumulte, certains vous diront : « il faut bien nourrir les pauvres ! » phrase régulièrement employée par les ignorants se défaussant  du sujet "élevage industriel". Il est encore plus surprenant lorsqu’elle est exprimée par de grands croyants devant l’éternel. Il y a cinq siècles, c’est en guerroyant que l’on a converti les amérindiens ;  en catholiques convaincus aujourd’hui, ils ne sont même plus considérés comme des enfants de Dieu. La controverse de Valladolid peut remettre le couvert.


LES ABATTOIRS AIMENT LE SANG, PAS LA SUEUR !

Rappel d'une affaire de 2014 qui a fait l'objet de recours classés sans suite (comme la plupart d'ailleurs)

Malgré les suicides en série d'agriculteurs et la chute du premier producteur européen de volailles, ça continue encore et encore...  
Un poulailler intensif géant va voir le jour en plein cœur des Fermiers de Loué, un soi-disant modèle de qualité irréprochable, mais en y regardant de plus près, le poulet vivra 31 jours sur une surface de 20 cm par côté en complète claustration ; je vous laisse apprécier la nuance du renouveau...
Alors que la paysannerie traditionnelle prouve, chaque jour, son réalisme et ses possibilités en matière d'emploi, les pouvoirs publics font le jeu contraire en s'abaissant devant les industriels spécialistes de la précarité.


Si la politique ressasse, pour sécuriser le consommateur : « faisons chez nous, ce qui est douteux venant de l'extérieur ». Alors, comment expliquer les exportations massives de poulets standards français en Afrique et moyen orient, entre autres ? D'un point de vu du goût, un produit qui est loin de faire l'hunanimité... La preuve : les Iraniens, grands amateurs de volaille, trouvent nos gallinacés « mauvais. »


Signez ici la pétition contre cette nouvelle aberration

SUR LA PLANETE BLEUE
Découvrez un clip 100% écolo, budjet 0 euro, réalisé sans assistance avec des matériaux de récupération, une petite caméra HD, du temps passé derrière l'établi et la machine à coudre, sans oublier le titre écrit et enregistré par les 2 créateurs de NAGAKANAYA.
lien youtube sur l'image ci-dessous



Le poulet standard c'est quoi ?

C'est rien, même pas une race !
A la base, une souche de poulet précoce, x fois manipulée en laboratoire.
Résultat : les muscles se forment avant les os, l'animal est fragile, mais sa cervelle fonctionne très bien et ses sensations de mal-être restent entières.
Les dernières expériences en date, tentent de lui faire manger une alimentation contraire à ses goûts et en quantité moindre.

En bref, de la chair à graillon qui nait et meurt sur le front .



En 2009, les petits comiques de la maison "le gaulois" se sont payés une campagne publicitaire aux images  mensongères.

Le thème faisait découvrir au public des poulets dansant le french cancan, en plein air.

si ces taulards, entassés les uns sur les autres, se mettaient, pour une raison inexplicable, à pasticher les vedettes du moulin rouge, on pourrait déplorer une multitude de guiboles cassées, nions sur les margoulettes et bleus aux troufignons.

 

Dans sa quête du mal, l'homme mésestime ses capacités à faire le bien.

Notre planète bleue s'essouffle, ce n'est plus un pronostique de chevelus des années 60, mais une réalité en constante progression.
Si nous laissons l'industrie agroalimentaire faire le forcing, nous finirons tous comme le peuple déchu de l'île de Pâques.
Une façade clinquante n'est pas forcément signe d'indispensabilité, la preuve, la machine à malbouffe a une faiblesse : le réveil des consommateurs (faut-il encore que certains cessent de jouer inutilement au poltron)

Le comble du pleutre, c'est de compter sur le problème pour devenir une solution.

Pourtant le courage est à portée de bouche, une alimentation naturelle et mesurée, sans rien se refuser en diversité culinaire, mais débarrassée de ses excès, et l'image ci-dessous, continuera d'exister pour les générations à venir...

La vie à un prix qui doit supplanter les futilités qui vident le porte-monnaie.



LES ANASAZIS DE MESA VERDE, NOTRE AVENIR  IL Y  A 6  SIECLES



Depuis 1906, Mésa Verdé (plateau vert) est un parc national, situé dans l'état du Colorado. Historiquement, il fut jusqu'au XIVème siècle, le territoire des indiens Anasazis ; ils y cultivaient le haricot, le maïs, la courge etc... Mais la surpopulation, au chiffre qui nous semble  dérisoire de 2500 habitants, obligea à l'époque le principe de la culture intensive ce qui épuisa les sols et la faim étant le gibier se trouva décimé. Malgré tout, l'immensité du pays permis aux autochtones de migrer vers un autre éden.
Les grands espaces ont toujours permis aux hommes de se ressourcer, mais au XXIème siècles, la démographie grandissant d'un milliard tous les 12 ans et une planète exploitée de toute part, les portes de sorties se réduisent à l'état de rêves.



Faites-vous les experts de la belle bleue

Pour trouver sa crèche ou la case à mamie, Google Earth c'est amusant. Mais avez-vous pensé à vous transformer en grand spécialiste de votre environnement ?
Choisissez un sujet, ils sont nombreux et passionnants : partons sur le reboisement d’urgence préconisé, à raison, par le GIEC (
Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat). Prenez en compte les spécificités de chaque pays, l'alarmante progression de la population (un problème majeur mis en catimini). Zoomez avec cet outil  incroyable, mis à votre disposition, et la question vous viendra d’elle-même : « où replanter ? ».



Les phares sont des lampes de chevet pour que les baleines puissent lire Moby Dick.

Malheureusement, ce n’est pas le cas. Un homme l’a très bien compris, c’est Paul Watson.

Le jour où il a croisé l’œil d’une baleine en détresse, il a décidé, de façon efficace, de consacrer sa vie à la protection de ces magnifiques cétacés.

Mais ne faut-il pas, quelquefois, monter le ton pour faire entendre la raison.


Les antibiotiques, tu les achètes au rayon viande, tu les mets au frigo,
tu dois les bouffer rapidement et en plus t'es pas remboursé par la sécu.


Un animal en batterie ne discute pas, il mange ce qu'on lui donne. La plupart des humains se met dans le même cas ; il suffit de quelques images abêtissantes, bien lustrées et une pincée de mots d'un gabarit similaire, pour qu'il s'adonne à la confiance aveugle. La chose s'aggrave quand son libre arbitre booste son arrogance, à ce moment là le retour en arrière n'a plus qu'une issue : le malheur !

Philosopher, de façon plaisante, sur des sujets graves, cela compense la triste réalité, sans far, de l’industrie pharmaceutique clamant, en ces termes, à l’industrie agro-alimentaire : « surtout ne changez rien ! »



Qu'est ce qu'ils foutent encore à cheval  ces dissidents envahissants ?
 
Au lieu d'être tranquillement installés dans leur salon, à  jouer à la guerre, comme tout le monde, sur nos belles consoles, comme le marché l'a décidé.

Dans le monde du prêt à tout, voici une réflexion pas si folle que ça...

Dans l'univers équestre, je pense que la taxe à 20% est un vaste plan, consistant à faire disparaître une partie des chevaux de loisirs, ainsi que les installations consacrées à cette activité, afin de récupérer, en toute l'égalité, de nouvelles terres.
Si vous trouvez cette idée absurde, sachez qu'aujourd'hui des promoteurs, aux projets dévastateurs, s'arrachent à prix d'or toutes les surfaces disponibles sur le marché.



Le jour où la planète se séparera de la présence humaine, l'expression "larmes de crocodile" sera à son zénith.
Pourtant, quelle perte ce serait !


Vidéos à découvrir ici

mapartdesoleil@aol.com